Activité amusante d’atelier de touffetage de tapis à faire à Bangsar

Si vous avez été actif sur les réseaux sociaux au cours de l’année écoulée, vous avez peut-être vu des vidéos de personnes tuftant. C’est assez essential sur TikTok avec certains créateurs, tels que SIMJI, rassemblant additionally de cinq hundreds of thousands d’abonnés sur la plateforme.

Si vous ne savez pas ce qu’est le tufting, c’est une system de fabrication textile dans laquelle un fil est inséré sur une foundation primaire. La façon moderne de le faire consiste à utiliser un pistolet à tufter, qui pousse rapidement le fil dans la base.

Pour ceux qui n’ont pas entendu parler du tufting et qui doutent encore de sa popularité, sachez qu’il existe déjà plus d’une poignée de studios de tufting en Malaisie.

Pour n’en nommer que quelques-uns, il y a Tuftme (qui à lui seul a plusieurs emplacements), Tuft Second, Tufters Space, Tuft House, et bien moreover encore.

Mais parmi tous ceux-là, celui qui m’a marqué était D’rug Tufting Studio.

Avec un simple nom d’utilisateur de @drug_kl sur Instagram, j’ai fait une double prise lorsque je suis tombé sur ce compte pour la première fois. En cliquant sur son profil, j’ai été encore furthermore surpris par la description de l’entreprise – Centre de traitement de la toxicomanie.

Hélas, j’ai réalisé que c’était simplement un jeu sur le mot “tapis”. Pourtant, je pensais que c’était accrocheur et plutôt humoristique. Les frères qui l’ont fondé semblaient le penser aussi.

“Au cours de notre processus de dénomination, nous avions approximativement 50 noms répertoriés.” Wei Han a partagé. “Quand nous sommes arrivés à D’rug, nous avons tous cliqué [with it. We like how fun and quirky the name can be as it reads exactly like something we should not do. But we thought we would take the risk and do what other people wouldn’t dare to do.”

Jumping the (tufting) gun

Brothers Wei Han and Wei Ren are only 26 and 25 respectively, having just graduated from university around three years ago. Wei Han studied construction, while Wei Ren was in engineering.

At the end of last year, they discovered the art of tufting. At the time, they believed it was still rather niche in Malaysia, so they thought to themselves, “Why not? What’s the worst that can happen?”

So, the brothers took the plunge and quit their jobs in Johor Bahru and travelled north to KL.

“We weren’t in the craft industry prior to opening D’rug, but nothing stopped our eagerness to learn and create,” Wei Han shared.

They overcame their limited funds by being hands-on with the setup of their studio, going so far as to build the tables and handle the wirings themselves.

Compared to other industries such as F&B, though, the equipment for tufting is rather accessible. The main materials needed include the tufting gun, yarn, base fabric, and backing for the rug.

“However, to make tufting fun, colour availability is very important,” Wei Han brought up. “So making sure all colours and shades remain in stock and available has been tricky especially since most materials are sourced overseas and have quite a long delivery period.”

On top of preparing a physical space, they also had to work on being knowledgeable about the craft of tufting itself.

The brothers shared that tufting itself isn’t difficult, as they could guide anyone within five minutes, to actually understand and master it takes more time.

Thread threats

As mentioned, there are already so many other tufting studios and workshops in Malaysia, concentrated in the Klang Valley.

Although D’rug has a pretty catchy name, it might not be enough to sway people their way, especially when the name can sometimes be a disadvantage.

“We later realised that our Instagram handle would make approaching brands and KOLs more difficult, but I guess we’ll just have to live with that,” Wei Han mused.

So, another way D’rug claims to set itself apart from competitors is simple—pricing.

For their classic programme, which works with a 60cm by 60cm canvas, the retail price is RM299, with a special RM199 deal for subsequent party members. However, we’ve noticed that they’ve been running an RM100 promo for a while now, bringing the price per pax down quite significantly.

Without the promo though, compared to other brands, it’s still a pretty average deal. At Tuftme, the standard price is RM250. This means it’s RM500 for two people. With the non-promo D’rug deal (pun intended), it would be RM498.

Over at Tuft Second, the prices are RM268 per pax, with discounts for a bigger pax too.

“Instead of putting a premium price on tufting, we feel that tufting should be enjoyed by everyone instead, hence why we’ve placed our price at a competitive range,” Wei Han explained.

Trying D’rug for ourselves

I’ve never tried tufting before, but it looks like such a therapeutic experience. So, when Wei Han invited us to try out tufting at D’rug ourselves, I took him up on the offer.

Located in Jalan Telawi, Bangsar, D’rug is set in a very happening space. Street parking is admittedly a bit of a nightmare, but as a last resort, there’s a mall (Bangsar Village) just a few steps away.

In my opinion, it’s a great location as customers can visit nearby food options before and after their tufting session, as it can actually be quite physically strenuous, as I was about to learn.

Little tufted arrows guided me up the stairs to the third floor, where the studio was located. The space was dim when I entered because there were projectors in use.

Each workstation has a corresponding projector to let customers draw the basic shape of what they’re going to tuft.

I chose to make a sunny side up, while my managing editor, Sade, decided to recreate the Vulcan Post logo. Once I finished outlining, a staff member guided me to the yarn room, where a colourful wall of yarns greeted me.

“Yarn displays are a staple of tufting studios, often used as photo-op backgrounds while displaying all available colours to tufters,” Wei Han shared.

Each customer gets their own little trolley to keep their supplies and products in. For my design, I picked out the colours of an egg—white and yellow (and black for the face details).

While pushing my trolley back to my station, I noted there were nine tufters in the studio. The staff told me that they can fit eight comfortably, but can squeeze in 12 if need be. There are three sessions per day on weekends (9:30AM, 2PM, and 7PM), and usually two on weekdays.

I also noticed that there was a pretty high staff-to-customer ratio. There were around five or six staff members around, including Wei Han.   

“We have around 12 staff members in our team, all very fun, caring and extremely [skilled] dans le touffetage », a déclaré Wei Han. “Les membres du staff suivent tous notre programme de development et sont très capables de guider et d’aider à régler les petits détails avec lesquels vous n’êtes pas à l’aise.”

Alors que nous commencions à touffer, Sade a mentionné qu’elle appréciait que les membres du personnel ne vous tiennent pas la most important tout au prolonged du processus, mais nous laissent plutôt expérimenter le processus nous-mêmes.

Je me suis trompé plusieurs fois, mais le touffetage est une activité incroyablement indulgente. Si vous avez foiré une partie, vous pouvez simplement retirer le fil.

Une heure furthermore tard, mon bras droit me faisait mal à pressure de porter l’arme. Heureusement, chaque station est livrée avec sa propre chaise et le studio a également fourni des bouteilles d’eau et des collations gratuites pour tout le monde.

Il m’a fallu approximativement deux heures pour terminer le touffetage. Après cela, un membre du personnel est venu découper mon dessin et l’a apporté à l’arrière pour préparer le tapis pour sa dernière étape de collage et de rasage.

Avant cela, cependant, ils m’ont invité à la salle de fil pour une photograph rapide qu’ils ont imprimée pour moi.

En échange d’un avis cinq étoiles sur Google, D’rug permet aux clients de coller et de raser leurs propres tapis et de les ramener à la maison le même jour. Cette partie a duré environ une demi-heure.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligé de laisser un avis cinq étoiles et vous pouvez choisir d’attendre une semaine pour obtenir votre tapis, mais après notre propre expérience chez D’rug, nous dirions que leurs avis cinq étoiles sont bien -mérité.

Une fois que nous avons passé l’aspirateur sur nos tapis, nous étions libres de les ramener à la maison. Je suis maintenant l’heureuse propriétaire d’un petit tapis à œufs, et tout le monde dans notre bureau a été surpris par le tapis Vulcan Post.

Aussi fatigués que nous l’étions après l’expérience, nous avons tous les deux convenu que nous pensions déjà revenir un jour pour fabriquer d’autres tapis, auto la gratification que nous avions de créer quelque selected de nos propres mains était inégalée.

Un grand merci à D’rug, Wei Han et aux membres de l’équipe pour l’expérience !

Pas seulement une section

D’rug a ouvert ses portes en mars de cette année. Cependant, avec tant de concurrence aujourd’hui et le touffetage étant une tendance, on se demande si l’artisanat est sturdy ou non.

“Les tendances vont et viennent, et on nous a demandé à plusieurs reprises ce que nous prévoyons de faire à l’avenir lorsque la tendance n’est pas aussi chaude qu’elle l’est aujourd’hui”, a déclaré Wei Han. “Mais nous avons prévu de nombreuses choses passionnantes qui, espérons-le, feront découvrir le touffetage à encore moreover de gens aujourd’hui.”

Trois mois après le début de leur studio, l’équipe a déjà vu des consumers revenir (“accros”, comme ils l’appelleraient) et des retours de soutien. Donc, ils doivent faire quelque chose de bien.

“Pour l’instant, nous voulons nous assurer que nos clientele apprécient leur temps avec nous”, a déclaré Wei Han. “Des consumers satisfaits sont la voie à suivre pour une entreprise engageante. À l’avenir, nous participerons à davantage d’activités et de collaborations pour introduire le tuftage sous des formes moreover créatives.

• En savoir moreover sur D’rug Tufting Studio ici.
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